A son arrivée en juin 1997 à la tête du ministère de l'éducation nationale, Claude Allègre affichait d'emblée une volonté de changement volcanique : financements publics, programmes scolaires, rôle des enseignants, zones d'éducation prioritaires... Cependant, son art tectonique de la communication a commencé à soulever des polémiques, associant le mot "réforme" à un tabou. Notes : bibliogr.