La bêtise est un sujet faussement badin. Que faire face à la bêtise en famille ? Homo sapiens va-t-il de mal en pis ? Est-on plus bête en compagnie ? Sur les réseaux sociaux ? Quelles stratégies mettre en oeuvre face à la bêtiser ?
Qu'est-ce que grandir ? Quand arrête-t-on de progresser et quand commence-t-on à décliner ? A l'ère des technocultures, à quoi rêvent les enfants et les adolescents ? Comment apprennent-ils à se détacher de leur famille ? Enfants et adolescents ne sont pas tous logés à la même enseigne. Des inégalités existent selon les milieux sociaux, avec des effets significatifs sur la réussite scolaire et l'insertion professionnelle.
Aujourd'hui, on aborde la notion de réseau en se référant aux technologies : téléphone portable, réseaux sociaux, Internet, infrastructures matérielles, réseaux ferroviaires, routiers, électriques, réseaux d'apporvisionnement. On pense aussi à la biologie : réseaux sanguin, nerveux et lymphatique. La matière aussi est composée d'atomes, formés eux-mêmes d'un noyau entourés d'électrons. Notes : bibliographie
" La pédagogie Freinet, à chaque époque, a exploité les possibilités technologiques les plus récentes, sans s'éloigner de ses axes fondamentaux" : favoriser l’expression personnelle et la communication ; permettre le développement de l'individualité, en même temps que la convivialité et la coopération; faire émerger la créativité et l’enrichir ; former à la curiosité, valoriser l'esprit de recherche ; développer conjointement autonomie et entraide".
Ce numéro associe réflexions sur le numérique et pratiques de classe en accord avec les objectifs annoncés. Les praticiens, qu'ils utilisent le fax, l'appareil photo numérique, le TBI ou encore le diaporama, poursuivent le même objectif : intégrer toutes les technologies dans leur pédagogie pour apprendre à l'élève à penser et devenir maître de sa vie et de son devenir.
Cinquante ans d’évolutions et d’utilisation des technologies de l’information dans l’enseignement des sciences montrent comment on est passé des tutoriels propres à chaque matière aux simulations et à la modélisation et enfin à l’enseignement en ligne et aux réseaux sociaux lors de la dernière décennie. L’introduction des TI en sciences au cours des années 1960 reposait sur deux dynamiques principales : tout d’abord, les universités et les pouvoirs publics reconnaissaient la nécessité de former au plus grand nombre de spécialistes en technologies de l’information pour travailler dans cette industrie ; ensuite, des enseignants précurseurs ont vu tout l’intérêt qu’ils pouvaient tirer des nouvelles technologies pour améliorer l’enseignement et l’apprentissage dans certaines disciplines, notamment dans l’enseignement des sciences et des mathématiques. Quarante ans de recherches sur l’impact des ressources informatiques en sciences sur l’apprentissage des élèves montrent des progrès significatifs de leurs acquis mais, dans une large mesure, ces ressources dépendent de la nature des logiciels eux-mêmes, des pratiques pédagogiques des enseignants et de la pertinence de l’activité par rapport à la conceptualisation et au développement des connaissances...
Cet article s'intéresse aux pratiques de communication d'étudiants dans le cadre d'enseignements en ligne à l'université. La recherche porte sur deux publics et part de l'hypothèse que la participation sociale en ligne influe sur l'apprentissage à distance. Elle examine donc les liens qui peuvent exister entre la participation à la vie des groupes et la réussite à l'examen pour repérer des phénomènes communs. Les résultats soulignent des relations entre ces variables mais montrent que toutes les "participations" ne se valent pas, ce qui peut donner des indications en termes de pilotage de formation.
Les infox (aussi appelées fake news) ont envahi la scène publique. Mais de quoi s'agit-il ? Comment distinguer le canular de la propagande, l'erreur de la falsification, le piège à clics de la manipulation ? Est-on face à une simple panique sociale ou faut-il prendre au sérieux le scénario d'une guerre informationnelle ?