La prohibition de l'inceste est un phénomène universel qui fait l'objet de tentatives d'explications divergentes : aversion spontanée, effets négatifs de la consanguinité, base universelle du contrat social. Notes : Bibliog.
Les "peuples premiers" sont perçus comme les derniers représentants d'une humanité en voie de disparition, victimes d'un monde moderne qui ne leur laisse aucune place. Mais des observateurs révèlent une face plus sombre, faite de violences, d'inégalités, de domination masculine. Et certains peuples ont saccagé leur environnement bien avant l'arrivée des Occidentaux.
Les "peuples premiers" sont perçus comme les derniers représentants d'une humanité en voie de disparition, victimes d'un monde moderne qui ne leur laisse aucune place. Mais des observateurs révèlent une face plus sombre, faite de violences, d'inégalités, de domination masculine. Et certains peuples ont saccagé leur environnement bien avant l'arrivée des Occidentaux.
Face à une pandémie qui a fait de nombreuses victimes dans le monde, on a pu assister à de nombreuses manifestations d’entraide et de solidarité. Les racines de l’altruisme ont fait l’objet de multiples théories. Faut-il y voir un penchant naturel ? La manifestation d’une empathie enracinée dans la psychologie humaine ? Ou une forme détournée d’égoïsme dans laquelle chacun trouverait des gratifications et des bénéfices personnels ?
Face à une pandémie qui a fait de nombreuses victimes dans le monde, on a pu assister à de nombreuses manifestations d’entraide et de solidarité. Les racines de l’altruisme ont fait l’objet de multiples théories. Faut-il y voir un penchant naturel ? La manifestation d’une empathie enracinée dans la psychologie humaine ? Ou une forme détournée d’égoïsme dans laquelle chacun trouverait des gratifications et des bénéfices personnels ?
Un autre monde est en train de naître devant nos yeux. Un autre esprit, dans nos façons de penser, d'espérer et d'avoir peur. L'angoisse écologique qui donne sa couleur au siècle nouveau n'annonce rien moins, pour notre civilisation, qu'un changement d'"englobant".
Ce fut l'Histoire, ce sera la Nature. De quoi prendre le vert au sérieux.
La manière dont nous accompagnons la croissance de nos enfants et de nos jeunes, que l'on soit parents, enseignants, éducateurs, dépend en grande partie de l'idée que nous nous faisons de la personne humaine et du monde dans lequel elle grandit.
A l'école, en famille, ou dans les différents lieux d'apprentissage, les leviers éducatifs mobilisés reposent toujours sur une anthropologie particulière, c'est-à-dire sur une certaine vision de la personne humaine et de sa place dans le monde.
De ce point de vue, une anthropologie chrétienne porte en elle des fondamentaux dont il convient d'interroger la portée dans le monde contemporain. C'est l'objet de ce volume qui réunit des contributions de pédagogues, philosophes, éducateurs, religieux, s'inscrivant dans cette perspective.
Lucinda, petit singe femelle à poils laineux, accompagne Claude Lévi-Strauss dans ses voyages au cœur du Brésil, accrochée à sa botte. Mais en traversant une rivière, elle est entraînée par le courant. Un moment perdue, elle est finalement recueillie par une jeune indienne nambikwara.
Lucinda est alors aux premières loges pour découvrir les coutumes étranges de ce groupe et sa profonde humanité. Elle réussit même à en percer certains secrets.
L'anthropologie historique et culturelle considère que le social se construit au cours de processus interactionnels entre les rituels, la mimésis sociale et la performativité. Les rituels orchestrent les rythmes de notre vie (familiale, personnelle, professionnelle) et si les grands rituels disparaissent, d'autres plus intimes sont inventés. Les rituels, anciens et inventés, permettent de " faire ensemble société " et ils se transmettent par mimésis sociale. La performativité est l'activité de recréation personnelle et culturelle des rituels dans une mise en scène corporelle et identitaire. L'anthropologie historique et culturelle ouvre une réflexion interculturelle sur l'importance du corps, zone encore peu explorée, dans les constructions sociales. Cet ouvrage propose à la fois une réflexion théorique et une illustration de ces thèses. qui intéresseront le travailleur social, l'éducateur, l'enseignant mais aussi, parce qu'écrit dans une langue claire, l'Homme du XXIe siècle désireux de " décoder " son époque.
Chez l’humain ou ses cousins mammifères, nature et culture ne sont pas deux couches superposées, ce sont des ingrédients qui s’entrelacent.
Nature et culture s’entremêlent au plus profond de nos cerveaux comme le montrent les recherches sur la plasticité cérébrale. L’épigenèse, nouveau champ de recherche, montre que l’action des gènes et celle du milieu se combinent pour façonner un organisme.
Le dualisme nature/culture qui structure profondément nos schémas de pensée doit donc être repensé. Les anthropologues s’y emploient à leur manière. Les posthumains croient possible de fusionner la nature et la culture, l’artificiel et le naturel, la technique et le vivant, les circuits biologiques et les circuits électroniques pour prendre les commandes de notre évolution, pour former une espèce nouvelle. Notes : Bibliogr.